samedi 31 octobre 2009
vendredi 23 octobre 2009
vendredi 2 octobre 2009
Ethique :
Toutes les photographies d'animaux sauvages présentées sur ce site ont été prises dans le respect de l'animal en question, en veillant à ne pas le déranger. Sur le terrain, cela se traduit par exemple par le fait de ne jamais déplacer un insecte ou un autre petit arthropode "dans le but qu'il adopte une position qui me convienne mieux", de ne pas traquer un chamois que ma présence a effrayé, ou encore de ne pas photographier d'oisillons au nid en gros plan et au flash... Ce qui n'est malheureusement pas une évidence pour tout le monde.
Mon credo en la matière : rien n'est plus satisfaisant que d'approcher un animal, d'en obtenir une belle image puis de s'éloigner sans que celui-ci ait jamais eu conscience de la présence du/de la photographe.
Mon credo en la matière : rien n'est plus satisfaisant que d'approcher un animal, d'en obtenir une belle image puis de s'éloigner sans que celui-ci ait jamais eu conscience de la présence du/de la photographe.
Post-traitement :
Contrairement à une croyance répandue, le post-traitement des images, c'est-à-dire le fait de retravailler les photos après la prise de vue, n'a pas attendu le numérique pour être employé par les photographes. En revanche, il va de soi que l'informatique en a grandement démocratisé l'usage.
Le post-traitement peut prendre de nombreuses formes, du simple recadrage d'une image à la retouche proprement dite : suppression d'un élément gênant, intégration à une photo d'un personnage ou d'un objet provenant d'une seconde...
Mon usage du post-traitement, des plus classiques, est le suivant :
- Correction des couleurs de certaines photographies, mon appareil ayant tendance à produire des images un peu plus ternes que nature. Des logiciels tels que Gimp permettent de rééquilibrer les niveaux ou de modifier la saturation afin d'obtenir un rendu plus fidèle.
- Léger retaillage, rarement.
- Diverses opérations de mise en forme nécessaires à la présentation des images sur le site : redimensionnement, mise en place d'un cadre, compression au format .jpg, etc.
- Enfin, il m'arrive parfois d'employer d'autres outils tels que la décoloration d'une partie de l'image afin d'en mettre une autre en valeur. Naturellement, s'agissant véritablement d'une modification de l'image, cela est chaque fois précisé sous la photographie en question.
Il est important de retenir que, hormis dans ce dernier cas, toutes les opérations que je fais subir à mes photographies n'ont pour but que d'obtenir des images plus proches de la réalité. La nature regorge de phénomènes dont les formes, couleurs, et autres caractéristiques sont telles qu'il n'est nul besoin de chercher à les embellir artificiellement.
Le post-traitement peut prendre de nombreuses formes, du simple recadrage d'une image à la retouche proprement dite : suppression d'un élément gênant, intégration à une photo d'un personnage ou d'un objet provenant d'une seconde...
Mon usage du post-traitement, des plus classiques, est le suivant :
- Correction des couleurs de certaines photographies, mon appareil ayant tendance à produire des images un peu plus ternes que nature. Des logiciels tels que Gimp permettent de rééquilibrer les niveaux ou de modifier la saturation afin d'obtenir un rendu plus fidèle.
- Léger retaillage, rarement.
- Diverses opérations de mise en forme nécessaires à la présentation des images sur le site : redimensionnement, mise en place d'un cadre, compression au format .jpg, etc.
- Enfin, il m'arrive parfois d'employer d'autres outils tels que la décoloration d'une partie de l'image afin d'en mettre une autre en valeur. Naturellement, s'agissant véritablement d'une modification de l'image, cela est chaque fois précisé sous la photographie en question.
Il est important de retenir que, hormis dans ce dernier cas, toutes les opérations que je fais subir à mes photographies n'ont pour but que d'obtenir des images plus proches de la réalité. La nature regorge de phénomènes dont les formes, couleurs, et autres caractéristiques sont telles qu'il n'est nul besoin de chercher à les embellir artificiellement.
Matériel :
J'utilisais il y a encore quelques mois de cela un Fuji Finepix S9500, assorti si besoin d'une bonnette macro Raynox DCR-250. Il s'agit d'un bridge de modèle assez ancien (Le S9500 est sorti en août 2005) et dont le "grand âge" se faisait parfois sentir (Déclenchement lent, autofocus récalcitrant... Et surtout, molette de réglage défaillante qui m'obligeait à travailler exclusivement en mode automatique). Pour autant, il demeurait un appareil de qualité correcte me permettant de prendre du plaisir, et là était à mes yeux l'essentiel... jusqu'à ce qu'il décide de jouir d'une retraite que je ne lui contesterai certes pas.
Depuis, je n'ai plus d'appareil ; je travaille donc désormais essentiellement avec un reflex Sony Alpha 200 que l'on me prête gracieusement (et régulièrement), complété à l'occasion de la bonnette macro.
Ladite bonnette DCR-250 n'est rien de plus qu'une loupe qui vient s'assujettir à l'objectif afin de procurer un grossissement plus important ; cependant, elle diminue considérablement la distance maximale de mise au point, ce qui signifie qu'elle ne peut être employée que pour photographier des sujets très proches (insectes, fleurs, etc.) mais aucunement des oiseaux en vol, par exemple. Là encore il ne s'agit que d'un accessoire de qualité moyenne mais permettant de s'essayer à la macrophotographie en disposant d'un budget réduit.
Ce qu'il importe d'avoir à l'esprit, c'est que si un appareil de moindre qualité ne vous offrira pas autant de possibilités qu'un autre plus perfectionné, il ne réduira jamais votre champ d'action à néant. Le tout est de chercher à tirer le meilleur de l'outil que l'on a en mains...
Depuis, je n'ai plus d'appareil ; je travaille donc désormais essentiellement avec un reflex Sony Alpha 200 que l'on me prête gracieusement (et régulièrement), complété à l'occasion de la bonnette macro.
Ladite bonnette DCR-250 n'est rien de plus qu'une loupe qui vient s'assujettir à l'objectif afin de procurer un grossissement plus important ; cependant, elle diminue considérablement la distance maximale de mise au point, ce qui signifie qu'elle ne peut être employée que pour photographier des sujets très proches (insectes, fleurs, etc.) mais aucunement des oiseaux en vol, par exemple. Là encore il ne s'agit que d'un accessoire de qualité moyenne mais permettant de s'essayer à la macrophotographie en disposant d'un budget réduit.
Ce qu'il importe d'avoir à l'esprit, c'est que si un appareil de moindre qualité ne vous offrira pas autant de possibilités qu'un autre plus perfectionné, il ne réduira jamais votre champ d'action à néant. Le tout est de chercher à tirer le meilleur de l'outil que l'on a en mains...
jeudi 1 octobre 2009
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